Mécénat, marché ou État:
qui soutient qui?
Par Edith Brunette et
Catherine Lavoie-Marcus
Catherine Lavoie-Marcus
Texte paru dans la publication
Troubler la fête, rallumer notre joie! ↗
par le collectif Journée sans culture
Troubler la fête, rallumer notre joie! ↗
par le collectif Journée sans culture
2016
EXTRAIT
«L’autonomie a bon dos. Il est assez curieux de voir comment l’État, tout comme les tenants de son désengagement, nous la saupoudrent un peu partout comme un insecticide contre le crime du parasitage. Le milieu des arts doit, soudainement, faire preuve d’autonomie − mais essentiellement au niveau financier, puisqu’il ne s’agit surtout pas de l’être – autonome – dans notre gestion.»
Troubler la fête, rallumer notre joie! est un livre produit par l’organisation militante Journée sans culture, avec et pour la communauté artistique québécoise.
Écrits
Aller à, faire avec, passer pareil
Le Merle - Institutions
Troubler la fête, rallumer notre joie
Les artistes du modèle d’affaires
Le Merle - Austérité
Décoloniser la culture, c’est aussi désaliéner la culture
Habiter ce qui se défait
The imaginary exit of disengagement
Mécénat, marché ou État: qui soutient qui?
Là où nous allons tous dans la même direction
No One Gives a F**k About a Cop et Fredy: porter les voix du collectif
Fragilité artistique et défense d’une autonomie illusoire de l’art
Prendre soin des paroles effacées
L’évitement comme politique de gestion des débats au Conseil des arts du Canada
Je préfèrerais (éclipses)
Épuiser l’événement: l’ultrafamilier et la répétition comme procédés de mise à distance
À l’ombre des projecteurs: DARE-DARE au Quartier des spectacles
Identity correction: comment se porte votre identité?
Insoluble capitalisme: menues violences et autres obscénités
Les médias et le Printemps québécois: comme si vous y étiez (ou presque)
Printemps québécois: l’éveil démocratique
Encore faut-il que cela se sache
Prendre la parole: du rhétorique au politique
Quelle efficacité pour une critique institutionnelle hors des institutions?
Les murs ne sont pas tous faits de pierres
Une vue de l’intérieur
Art dans l’espace public: quand les politiques croisent les pratiques
Les tactiques de l’informe
Mile-End Mapping: une carte avec ruelles
Le Merle - Institutions
Troubler la fête, rallumer notre joie
Les artistes du modèle d’affaires
Le Merle - Austérité
Décoloniser la culture, c’est aussi désaliéner la culture
Habiter ce qui se défait
The imaginary exit of disengagement
Mécénat, marché ou État: qui soutient qui?
Là où nous allons tous dans la même direction
No One Gives a F**k About a Cop et Fredy: porter les voix du collectif
Fragilité artistique et défense d’une autonomie illusoire de l’art
Prendre soin des paroles effacées
L’évitement comme politique de gestion des débats au Conseil des arts du Canada
Je préfèrerais (éclipses)
Épuiser l’événement: l’ultrafamilier et la répétition comme procédés de mise à distance
À l’ombre des projecteurs: DARE-DARE au Quartier des spectacles
Identity correction: comment se porte votre identité?
Insoluble capitalisme: menues violences et autres obscénités
Les médias et le Printemps québécois: comme si vous y étiez (ou presque)
Printemps québécois: l’éveil démocratique
Encore faut-il que cela se sache
Prendre la parole: du rhétorique au politique
Quelle efficacité pour une critique institutionnelle hors des institutions?
Les murs ne sont pas tous faits de pierres
Une vue de l’intérieur
Art dans l’espace public: quand les politiques croisent les pratiques
Les tactiques de l’informe
Mile-End Mapping: une carte avec ruelles