Prendre la parole:
du rhétorique au politique
Recension de l’exposition Trafic: L’art conceptuel au Canada 1965-1980, volets 1 et 2, présentée à la Galerie Leonard et Bina Ellen à l’hiver et au printemps 2012 et recension du livre Des actions parlantes: Aspects de la culture québécoise des années 1960 et 1970, de Michèle Thériault (dir.), Sean Mills, Felicity Tayler et Jean-Philippe Warren, Galerie Leonard et Bina Ellen, Montréal, 2012.
EXTRAIT
«Un élément s’impose comme le cœur à la fois de la publication Des actions parlantes et des œuvres les plus politiques de la partie montréalaise de l’exposition: cet élément, c’est la nécessité pour tous, lors de ce tournant de l’histoire québécoise, de se réapproprier le droit à une parole publique. Depuis les manifestants qui se massent dans les rues entourant l’Université McGill pour affirmer la priorité du français, jusqu’aux lèvres de Vallières déclamant son manifeste, artistes et militants convergent dans cette “volonté de dire et d’agir qui a marqué la vie collective et l’activité artistique de l’époque et qui nous amène à envisager le présent dans la densité complexe de ce passé”.»
Écrits
Aller à, faire avec, passer pareil
Le Merle - Institutions
Troubler la fête, rallumer notre joie
Les artistes du modèle d’affaires
Le Merle - Austérité
Décoloniser la culture, c’est aussi désaliéner la culture
Habiter ce qui se défait
The imaginary exit of disengagement
Mécénat, marché ou État: qui soutient qui?
Là où nous allons tous dans la même direction
No One Gives a F**k About a Cop et Fredy: porter les voix du collectif
Fragilité artistique et défense d’une autonomie illusoire de l’art
Prendre soin des paroles effacées
L’évitement comme politique de gestion des débats au Conseil des arts du Canada
Je préfèrerais (éclipses)
Épuiser l’événement: l’ultrafamilier et la répétition comme procédés de mise à distance
À l’ombre des projecteurs: DARE-DARE au Quartier des spectacles
Identity correction: comment se porte votre identité?
Insoluble capitalisme: menues violences et autres obscénités
Les médias et le Printemps québécois: comme si vous y étiez (ou presque)
Printemps québécois: l’éveil démocratique
Encore faut-il que cela se sache
Prendre la parole: du rhétorique au politique
Quelle efficacité pour une critique institutionnelle hors des institutions?
Les murs ne sont pas tous faits de pierres
Une vue de l’intérieur
Art dans l’espace public: quand les politiques croisent les pratiques
Les tactiques de l’informe
Mile-End Mapping: une carte avec ruelles
Le Merle - Institutions
Troubler la fête, rallumer notre joie
Les artistes du modèle d’affaires
Le Merle - Austérité
Décoloniser la culture, c’est aussi désaliéner la culture
Habiter ce qui se défait
The imaginary exit of disengagement
Mécénat, marché ou État: qui soutient qui?
Là où nous allons tous dans la même direction
No One Gives a F**k About a Cop et Fredy: porter les voix du collectif
Fragilité artistique et défense d’une autonomie illusoire de l’art
Prendre soin des paroles effacées
L’évitement comme politique de gestion des débats au Conseil des arts du Canada
Je préfèrerais (éclipses)
Épuiser l’événement: l’ultrafamilier et la répétition comme procédés de mise à distance
À l’ombre des projecteurs: DARE-DARE au Quartier des spectacles
Identity correction: comment se porte votre identité?
Insoluble capitalisme: menues violences et autres obscénités
Les médias et le Printemps québécois: comme si vous y étiez (ou presque)
Printemps québécois: l’éveil démocratique
Encore faut-il que cela se sache
Prendre la parole: du rhétorique au politique
Quelle efficacité pour une critique institutionnelle hors des institutions?
Les murs ne sont pas tous faits de pierres
Une vue de l’intérieur
Art dans l’espace public: quand les politiques croisent les pratiques
Les tactiques de l’informe
Mile-End Mapping: une carte avec ruelles