Journée sans culture
Avec le collectif Journée sans culture
Événement collectif, journée de grève, discussions, mémoire et publication
Théâtre Aux Écuries, Centrale Galerie Powerhouse (Montréal)
2015
Journée sans culture n’est pas un projet d’art, mais un projet politique. C’est une organisation autogérée, initiée par des artistes, travailleur.euses de l’art du Québec en 2015 pour réagir à l’impératif de faire toujours plus avec moins – moins d’argent, moins de temps, moins de soin, moins d’art.
Son premier geste fut l’organisation d’un événement collectif en octobre 2015, une journée de réflexion et de grève symbolique. Un temps d’arrêt collectif pour discuter de ce qui nous importe et réfléchir au présent des arts et à son avenir. Cette journée a rassemblé plus de trois cents personnes au Théâtre Aux Écuries (Montréal). Elle fut suivie d’une discussion sur la place des femmes en culture (Pourquoi les femmes?, à La Centrale Galerie Powerhouse, 2015), d’un mémoire incisif sur la réalité des travailleur.euses de l’art en vue du renouvellement de la politique culturelle québécoise (2016), et d’une publication autogérée rassemblant des textes issus de la rencontre aux Écuries et de collaborations diverses (Troubler la fête, rallumer notre joie, 2016).
Journée sans culture rassemble Edith Brunette, Mirna Boyadjian, Jenny Cartwright, Marine Gourit, Arkadi Lavoie Lachapelle, Catherine Lavoie-Marcus, François Lemieux et Pablo Rodriguez, ainsi que des dizaines d’autres bénévoles fabuleux.euses.
journeesansculture.ca ↗
Entretiens au sujet du projet:
La cause de la pause ↘,
entretien de Jérôme Delgado, Le Devoir.
Entretien avec le comité organisateur de la journée dans culture. Rendre visible aux autres et à soi-même ↘,
par Josianne Poirier, Spirale.
Son premier geste fut l’organisation d’un événement collectif en octobre 2015, une journée de réflexion et de grève symbolique. Un temps d’arrêt collectif pour discuter de ce qui nous importe et réfléchir au présent des arts et à son avenir. Cette journée a rassemblé plus de trois cents personnes au Théâtre Aux Écuries (Montréal). Elle fut suivie d’une discussion sur la place des femmes en culture (Pourquoi les femmes?, à La Centrale Galerie Powerhouse, 2015), d’un mémoire incisif sur la réalité des travailleur.euses de l’art en vue du renouvellement de la politique culturelle québécoise (2016), et d’une publication autogérée rassemblant des textes issus de la rencontre aux Écuries et de collaborations diverses (Troubler la fête, rallumer notre joie, 2016).
Journée sans culture rassemble Edith Brunette, Mirna Boyadjian, Jenny Cartwright, Marine Gourit, Arkadi Lavoie Lachapelle, Catherine Lavoie-Marcus, François Lemieux et Pablo Rodriguez, ainsi que des dizaines d’autres bénévoles fabuleux.euses.
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Entretiens au sujet du projet:
La cause de la pause ↘,
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par Josianne Poirier, Spirale.
Affiches par Clément de Gaulejac
Dessins par Arkadi Lavoie-Lachapelle
Dessins par Julie Delporte
Projets
Aller à, faire avec, passer pareil
Vases communicants
Lits de Procuste
Sea Lanes
Fly or Die
Esquisse pour une comédie musicale entrepreneuriale
Dépenses improductives
#ownit
Journée sans culture
Contre-monument à 100 millions de brins d’herbes identiques
Cuts Make the Country Better
Faut-il se couper la langue?
Consensus
Caméraroman
Poses pour caméras de surveillance
Prescriptions pour un bon ordre social
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Esquisse pour une comédie musicale entrepreneuriale
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Faut-il se couper la langue?
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